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Film collaboratif "Nous, les intranquilles"

Supports vidéos, Médias sonores,
Reims,
France,
2017

Synopsis

Planche 1 - Nous, les intranquilles, long métrage documentaire co-réalisé par Nicolas Contant et le Groupe Cinéma du centre Artaud. Nous, les intranquilles commence au centre d’accueil psychothérapeutique Artaud. Le Groupe Cinéma du centre raconte la maladie, la thérapie, leur rapport au monde. Après un premier geste documentaire, le film devient participatif et met en scène son élaboration en collectif. Planche 2 - extrait : À travers leur autoportrait, les personnages cherchent à donner une image humaine de la folie. Ils s’amusent des idées reçues pour mieux les subvertir. En s’emparant tous ensemble du projet artistique, ils démontrent par l’exemple qu’un autre monde est possible. Planche 3 - Emission "on a déjà traité le sujet", l'émission documentaire Addoc sur Radio libertaire : qu'elle hospitalité pour la folie aujourd'hui ?

Méthodologie

Film produit par Esperanza Productions et SaNoSi Productions. Contacts dossier de presse : Contact Distribution : Esperanza, Sonia Medina, sonia@esperanzaproductions.fr . Contact DVD : Aude Perron, aude.perron@sanosi-productions.com. Extrait de l'interview de Nicolas Contant dans l'émission Faire collectif par "Mon cher Watson" : MCW - Quel regard ce film porte-t-il sur le handicap ? NC - Aucun je crois. Moi je n'avais pas de regard à porter sur le handicap puisque c'était l'expérience collective qui m’intéressait. Mais il est vrai que la question de la maladie l'a emporté dans le groupe puisque c'est le quotidien des personnages. Toutefois, je ne pense pas que l'un d'entre nous aurait abordé la maladie sous l'angle d'un handicap. Il y a un texte au début du film qui dit : « Je suis autre, tout comme chacun, car qui est « comme les autres » ? Nous sommes tous autres ». Puis : « Je suis miroir. La folie des autres c’est sa propre folie qu’on ne veut pas voir. Nous sommes miroirs ». Plus tard dans le film, un personnage souligne que « le problème ce n'est pas la folie, c'est la souffrance ». C'est peut-être la meilleure manière de qualifier le regard que nous portons sur cette question.

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