Lorsque le café est un prétexte pour se rencontrer, se parler, se raconter, s’ouvrir, apprendre, se souvenir ... le sable du désert marocain s’invite jusque dans la machine à café du troquet du coin. De Zinaida à Makkia, plusieurs femmes expatriées, en situation de migration et/ou réfugiées, nous content leurs âmes déracinées jusqu’à ce que l’odeur des grains de café grillés arrive à nos narines.
Issue de l'ENSAB (École Nationale Supérieure d'Art de Bourges), la réalisation est pour ANANDA un prolongement logique de son rapport à l’image, ainsi qu’un aboutissement. Elle écrit et met en scène...
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